le ciel, mais là-bas on ne les entend pas
vêtu d'herbes et ne mangeant que des végétaux,
tu passes matins et soirs
je pense à toi, au loin, dans la montagne où la neige
est profonde de dix pieds
parfois un immortel vient frapper à ta porte.
Poème Zen, Mondarren
Photographie : Mai-Linh
Photographie : Mai-Linh
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