Fines, déliées, flottent les toiles d’araignées
Suspendues, jamais balayées
Sur le perron dans la cour tranquille, l’ombrage des arbres est dense
Dans le temple frais peu de moines, les bruits ont cessé
De temps à autre quelqu’un frappe à la porte,
La quiétude n’en est que plus profonde.
Suspendues, jamais balayées
Sur le perron dans la cour tranquille, l’ombrage des arbres est dense
Dans le temple frais peu de moines, les bruits ont cessé
De temps à autre quelqu’un frappe à la porte,
La quiétude n’en est que plus profonde.
Poème Zen - Moundarren
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