
Ce jardin minuscule axé sur un damier de mosaïques en pâte de verre et de végétation d'inspiration persane, avec ses carreaux de tulipes et ses orangers, s'appuyait sur une structure en maçonnerie.
A la pointe, alors bien dégagée, tournait sur son socle une sculpture en bronze de Jacques Lipchitz. Vite détérioré par les intempéries, il était déjà simplifié et planté d'agaves en 1933 et finit par disparaître. Il a été reconstitué en 1986.
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